mardi 28 décembre 2010

lundi 20 décembre 2010

Neil Young chante A day in the life
Utilisation du junior : fixe/large + utilisation du dézoom

dimanche 19 décembre 2010

Maquette d'architecte avec :
- destructions, impacts, traces de balles.
- victimes de sniper aux balcons, traces d'attentat terroriste, mvts de panique.

mardi 12 octobre 2010

Des videos de concerts classiques.
+ infos pour NI
http://www.sallepleyel.fr/francais/evenement.aspx?id=10723
http://www.sallepleyel.fr/francais/evenement.aspx?id=10722

http://fr.wikipedia.org/wiki/Daishin_Kashimoto
http://www.solea-management.com/Lise-Berthaud
François Salque est un des représentants les plus loués de la prestigieuse école française du violoncelle. Son extraordinaire profondeur musicale, sa technique phénoménale et son éclectisme en ont fait une personnalité incontournable du monde du violoncelle et de la musique de chambre.

Ce diplômé de l’Université de Yale et du CNSM de Paris s’est produit dans plus de cinquante pays. En soliste, il a eu l’occasion de se produire avec des formations telles que l’Orchestre de la Radio de Munich, l’Orchestre de la Suisse Romande, l'Orchestre de Monte-Carlo, l’Orchestre de Chambre de Moscou, la Camerata de Saint-Pétersbourg, l’Ensemble Orchestral de Paris, le Baltic Chamber Orchestra ainsi que de nombreux orchestres français.

Ses disques en soliste et en musique de chambre en compagnie de Paul Meyer, Emmanuel Pahud, Eric Le Sage ou Alexandre Tharaud, ont été largement acclamés par la presse (Diapasons d’ Or de l’année, Chocs du Monde de la Musique, 10 de Répertoire, Prix de l’Académie Charles Cros, Victoires de la Musique, Palme d’Or de la BBC...). François Salque signe également sept disques remarqués avec le quatuor Ysaÿe dont il a été pendant cinq ans le violoncelliste.

Son engagement pour la musique de notre temps lui a valu de nombreuses dédicaces, notamment de Thierry Escaich, Nicolas Bacri, Krystof Maratka, Jean-François Zygel, Karol Beffa... Il est également à l’origine de plusieurs créations, mêlant inspirations contemporaines et musiques traditionnelles.

Très jeune, François Salque est primé dans les plus grands concours internationaux (Genève, Tchaikovsky, ARD-Munich, Rostropovitch, Rose...). "La sensibilité et la noblesse de son jeu" alliées à "un charisme et une virtuosité exceptionnelle" (Pierre Boulez) lui permettent de remporter pas moins de 10 premiers prix et autant de prix spéciaux. Il compte parmi ses maîtres, Janos Starker, Paul Tortelier, Philippe Muller et Michel Strauss.

François Salque se produira cette saison et la suivante dans des lieux tels que la Salle Pleyel, le Théâtre du Châtelet, la Cité de la Musique le Théâtre des Champs-Elysées, ainsi que sur plusieurs scènes en France mais également au Japon, en Suisse, en Russie et dans de très nombreux festivals et rencontres musicales en France. Il enseigne aujourd’hui au Conservatoire de Paris - CNSMDP et au Conservatoire Supérieur de Lausanne.



Chambrisme français


Superbe cycle de musique de chambre française: une série incontournable de 3 concerts qui s'intéressent à la magie impressionniste c'est à dire moderne, de Fauré, Ravel, Debussy et aussi de Franck. Le quintette pour piano et cordes de Franck (terminé en 1879) met fin à un silence chambriste de ... 35 ans: il incarne une nouvelle synthèse de l'art français, aux côtés des oeuvres de Chausson ou Schmitt, compris précisément de Debussy, moins de Saint-Saëns qui néanmoins joua la partie de piano et qui en est le dédicataire! Imposant par sa construction monumentale (qui rappelle l'orgue et l'orchestre), le Quintette saisit par sa puissance émotionnelle nouvelle, une alliance qui jette le trouble sur la douceur du Pater Seraphicus... Fauré qui fut organiste comme Franck, reçoit l'illumination des grands auteurs germaniques: Bach et Beethoven (appris à l'Ecole Niedermeyer qu'il fréquenta 10 années, de 1854 à 1865), mais aussi grâce à Saint-Saëns son professeur (1861): Liszt, Wagner, Schumann... Simple mais raffiné (milles nuances enharmoniques), l'art de Fauré, admiratif de Wagner mais si différent, n'a pas uniquement ce langage des salons: il exprime l'intensité franche du sentiment. Sa musique de chambre en témoigne: en particulier ses 2 Quintettes pour piano (esprit et romance de Schumann dans le n°2). Ravel est l'élève de Fauré avec lequel il partage ce scintillement particulier du tissu harmonique et une finesse d'orchestration jamais écoutée jusque là. Le compositeur n'a laissé qu'un Quatuor (comme Verdi) mais c'est un chef d'oeuvre de la première maturité (Ravel est à peine trentenaire) créé en 1904 et dédié à son maître Fauré: résolument tourné vers la modernité joyeuse et abstraite, scrupuleuse mais d'une justesse parfaite, de l'après-guerre.

mardi 28 septembre 2010

dimanche 27 juin 2010

http://www.psdeluxe.com/freebies/50-free-graffiti-fonts-for-urban-artworks/

mercredi 9 juin 2010

http://www.nytimes.com/2010/06/07/technology/07brain.html?src=busln

mercredi 26 mai 2010

http://nyphil.org/concertsTicks/legrandmacabre.cfm?effortcode=macabre

mardi 25 mai 2010

un film interactif à regarder sur une plus grosse machine que la mienne. F...

dimanche 25 avril 2010

court metrage à voir
Spotify Classical Playlist
Graffiti/Post Graffiti, a testament to street graffiti entering the hallowed grounds of major art galleries and institutions in the early 80s featuring Basquiat and his New York contemporaries. And New York New Wave at PS1 - this seminal show, curated by Diego Cortez features the work of Robert Mapplethorpe, Keith Haring, Jean-Michel Basquiat and interviews with Kurt Hope and Diego Cortez.

Downtown Calling (US 2009, Shan Nicholson, 75 min)
Narrated by Debbie Harry, Nicholson’s film – and European premiere - looks at the creative music and filmmaking explosion that occurred in downtown New York in the late 70’s, particularly the birth of hip hop, and features reminiscences from DJ Arthur Baker, graf artist Fab Five Freddy, ESG, and Wild Style filmmaker Charlie Ahearn.
Screen (and time ?) savers

jeudi 8 avril 2010

samedi 27 février 2010

dimanche 21 février 2010

vendredi 29 janvier 2010

mercredi 27 janvier 2010

mercredi 13 janvier 2010

Trois musiciens et une cinéaste

De telles complexités, à l’image même de ces âmes tourmentées par l’angoisse, ne peuvent qu’inspirer de jeunes interprètes comme les quatre participants au concert « midi en musique » du 14 janvier. Quatre ? Comptons : un pianiste, Sébastien Jaudon, formé par Jean Martin puis Pierre Pontier, conseillé par Jules Bastin et Christa Ludwig ; particulièrement actif autour des formes théâtrales et des spectacles transversaux, de l’accompagnement des chanteurs et de la direction orchestrale, S.Jaudon enseigne au Conservatoire Régional de Grenoble. Il en va de même pour le baryton Emmanuel Cury, qui, lui, dirige ce même établissement, et a commencé son parcours dans la danse contemporaine avant de rejoindre le chant – conseillé par Régine Crespin – qu’il pratique dans l’opéra, la mélodie ou l’oratorio (baroque). La soprano Nadia Jauneau-Cury est également pianiste de formation, cofondatrice du Trio Athena, interprète en création d’œuvres contemporaines, notamment de Vincent Paulet, et enseignante. La 4e, travaillant également à Grenoble, illustre la transversalité du propos demandé par « Musée en musique » à ces schumanniens inventifs : car Agathe Cury, la benjamine du Quatuor, est cinéaste. Elle a œuvré dans le cadre d’un collectif, Productions-Bled (série « Aventuriers »), et a été récompensée au festival « Tout Court » pour son film « Ether ».


Le réel n’est vrai que jusqu’à un certain point

« Les balances entre désir et angoisse, rêve et représentation, refuge de la solitude et soif de la femme sont le sujet du Dichterliebe, avait écrit Emmanuel Cury à la cinéaste. Nous n’attendons pas de toi, bien sûr, une illustration. Les libertés que tu cherches à prendre me semblent précieuses. Bannir la femme réelle de l’image me paraît un geste fort. » Et en effet Agathe Cury précisait : « J’ai envie de me sentir libre de créer entre musique et image un lien, qui sera différent à chaque film : ce pourra être une illustration exacte de l’histoire racontée par Heine, mais aussi un détachement de cela pour souligner une relation structurelle à la musique, l’ironie pourra répondre à la mélancolie, l’histoire se détachant alors du récit… » Il est résulté de cette réflexion sur les principes un « découpage » qui sépare la séquence récital au sens classique du terme : « L’amour et la vie d’une femme » donné en continu, et Dichterliebe, contrepointé par l’image qui attend la fin du 5e lied (ich will meine… ») pour 6 interventions qui font respirer la musique. Ainsi avec le mystérieux « ich grolle nicht » (sur la traduction duquel on a beaucoup varié : « je ne gronde pas », proposait Rémy Stricker – en son remarquable commentaire des « Lieder de 1840 » - pour annuler le traditionnel « j’ai pardonné » ; Emmanuel Cury essaie : « je ne te hais pas »…), la réalisatrice note « des sentiments violents, haine, rage, dissimulation ». Et d’imaginer « la douce violence d’objets que l’on casse au ralenti, une image lisse, lumineuse, un intérieur de femme que l’on saccage ». Pour l’ultime « Die alten… lieder » (Les vieux chants méchants, enterrons-les…) : « un petit garçon qui joue à être le roi et utilise la forêt comme décor de l’histoire qu’il se fabrique ». Cette vision décalée fait « songer » aux films des Surréalistes – qui ont tant aimé le romantisme allemand -, et en tout cas emmène vers la double affirmation des romantiques intransigeants : « La poésie c’est le réel absolu », dit Novalis, et « Le réel n’est vrai que jusqu’à un certain point », commente Ludwig Tieck.

Grenoble, Musée en musique. Jeudi 14 janvier 2010, Auditorium du Musée, 12h30. Robert Schumann (1810-1856) : Dichterliebe, Frauenliebe und Leben. Emmanuel Cury, baryton ; Nadia Jauneau-Cury, soprano ; Sébastien Jaudon, piano; Agathe Cury, film. Information et réservation : T.04 76 87 77 31 et www.musee-en-musique.com

http://www.classiquenews.com/applaudir/lire_article.aspx?article=3467&identifiant=201018YFTQD7M391YUZ59IOA7QUGV9U
that could be a cool festival...

dimanche 10 janvier 2010

Vertical window farm
When I lived in NOLA a few years ago, the Grey Ghost (a man who would go out at night and paint over gorgeous works of street art with grey paint) was rather big problem. Right after I left, I know he was busted for covering up a mural and received a court summons. Does anyone know what happened to him? I hope he was stopped! Would welcome all comments. If you have any links to stories, please share! I am writing about the effects and challenges of urban street art.
http://www.couchsurfing.org/group_read.html?gid=1909&post=4666677#gpid4666677